vendredi 17 août 2007

Sonnez les matines... oui mais pas trop fort !


Un prêtre de la ville de Tilburg, aux Pays-Bas, a écopé d'une amende de 5.000 euros parce qu'il fait sonner ses cloches trop fort, trop tôt.

L'homme d'Eglise, arrivé il y a six mois dans sa paroisse, a commencé à sonner l'angélus à sept heures du matin, déclenchant une volée de plaintes d'habitants auprès du conseil municipal qui a fini par leur donner raison.

"Le prêtre peut sonner les cloches autant qu'il le veut mais il doit rester dans les limites de la règlementation sur le bruit. Les gens n'aiment pas ça", a expliqué un porte-parole de la municipalité. "Nous cherchons un moyen de faire en sorte qu'il arrête."

Le prêtre s'expose à de nouvelles amendes en cas de récidive.

J'ai vomi dans mes cornflakes



Traversée de l'Atlantique en ballon


C'est le 17 août 1978 qu'un ballon gonflé à l'hélium, Double Eagle II, termine sa course dans un champ d'orge près d'Evreux, en Haute-Normandie. Il avait quitté le Maine aux Etats-Unis cinq jours plus tôt, avec trois hommes à son bord. C'est le premier vol en ballon réussi au-dessus de l'Atlantique. Les douze tentatives précédentes avaient échoué et fait 5 victimes.

jeudi 16 août 2007

Le monde vu par Charles M. Schultz


Publié pour la première fois le 18 juillet 1960

Mort du King




C'était il y a juste trente ans.
A 42 ans, le chanteur Elvis Presley est victime d'un arrêt cardiaque à Graceland, sa maison de Memphis (Tennessee).

Sa carrière a démarré en 1953 avec "My Hapiness", un succès enregistré à l'intention de sa mère. Remarqué par le producteur Sam Philips, le jeune conducteur de camions devient le roi du rock'n'roll, ses jeux de scène provoquant l'hystérie des foules.
Aujourd'hui encore, les produits dérivés à son nom rapportent 42 millions de dollars et Graceland reste encore un lieu de pèlerinage et de recueillement pour un grand nombre de ses fans.

A réfléchir

Je ne connais absolument rien à la musique. Pour ce que je fais, je n’en ai pas besoin !
Elvis Presley

mercredi 15 août 2007

Arrêtée par son mari


Une femme policier américaine a été arrêtée pour conduite en état d'ivresse par son mari, lui-même policier, a rapporté mardi la presse locale. L'incident s'est produit dans la ville d'Elko (Nevada) samedi soir. Charlotte Moore, 36 ans, a été interceptée pour une infraction au code de la route, quelques heures après avoir participé à une réception, selon le journal Elko Free Press.

Le policier qui a effectué cette interception n'est autre que son mari, l'adjoint du shérif d'Elko Mike Moore. L'affaire s'est encore compliquée lorsque Mme Moore a refusé de se soumettre à un contrôle d'alcoolémie, obligeant son époux à faire appel à des renforts.

Le taux d'alcool dans le sang de Mme Moore était supérieur à la limite autorisée. Dans l'attente d'une décision de justice, elle a été mise à pied et son traitement suspendu.

mardi 14 août 2007

Evolution...


Pensée du jour

Un mot prononcé avec bienveillance engendre la confiance.
Une pensée exprimée avec bienveillance engendre la profondeur.
Un bienfait accordé avec bienveillance engendre l'amour.

Lao Tseu

Une prime pour maigrir


Pour aider nombre de ses concitoyens à perdre du poids, le maire d'une petite ville du nord-ouest de l'Italie, a décidé de les motiver financièrement.

Par contre, l'égalité n'est pas de mise : les messieurs qui parviendront à perdre 4 kilos en un mois recevront 50 euros. Les dames, elles, n'auront à perdre sur la même période que 3 kilos pour recevoir une somme identique.

Pas fou, le maire a également prévu l'effet yo-yo des régimes : ceux qui n'auront pas repris de poids au bout de 5 mois seront gratifiés d'une prime de 200 euros.

Monsieur le Maire ayant lui-même quelques kilos à perdre, il a eu l'idée de ce régime collectif pour inciter les plus récalcitrants.

En Italie, comme dans nombre de pays occidentaux, l'obésité est un véritable souci de santé publique.

samedi 11 août 2007

Des chaussons pour l'ordinateur


Vous en avez assez d'avoir froid aux pieds quand vous surfez sur Internet par les rudes soirées d'hiver ?

Ne cherchez plus, c'est fait, les chaussons chauffants spécial ordinateur existent. Eh oui, de ravissants petits objets garnis de "fausse" fourrure à brancher sur la prise USB. Chacun est équipé d'un fil électrique et d'un interrupteur pour régler l'intensité de chauffage, le grand luxe, quoi.

Donc plus d'excuses pour ne pas surfer pendant des heures.

Inconvénients tout de même : vous êtes reliés à votre ordinateur comme un chien à sa laisse, et si vous voulez vous lever, il vous faut soit débrancher et vous promener avec les fils, soit avoir sous la main une deuxième paire de chaussons destinés à vaquer....

On n'a rien sans rien.

Pour ceux que ça intéresse :www.geekstuff4u.com/product_info.php?manufacturers_id=&products_id=480

vendredi 10 août 2007

Make happen in yourself the change you want to see happen in the society.


Traduction : chacun apporte sa pierre à l'édifice, ce n'est pas seulement l'affaire des autres


Gandhi

Plus de dauphin blanc en Chine


En chinois, on l'appelait le "Baiji", ou "la divinité du Yangtsé". Le dauphin blanc de rivière du Yangtsé, une des trois espèces de dauphins d'eau douce, n'a pas survécu à la pollution et au trafic fluvial.

Cela faisait plusieurs années que personne n'avait plus croisé de Baiji. La nouvelle a été rendue officielle après qu'une expédition, menée par des scientifiques de plusieurs nationalités, a cherché à localiser quelques survivants. En vain.

Selon les scientifiques, plusieurs éléments ont favorisé la disparition de l'espèce : la difficulté à s'intégrer dans un milieu autre que le sien, les conséquenses écologiques désastreuses du développement de la Chine, et plus important l'activité humaine qui menace tout l'écosystème.

Le dauphin blanc de Chine, dont on comptait 5000 individus il y a encore moins d'un siècle, est le premier grand animal à disparaître en cinquante ans, après le tigre de Tasmanie.

Il disparaît sur la terre une espèce vivante toutes les vingt minutes. Plus près de nous, il y a déjà plus de dix ans que les scientifiques français n'ont plus trouvé de femelle de l'esturgeon de la Gironde.....

Un peu de musique

mercredi 8 août 2007

On peut rire de tout

On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde.

Pierre Desproges

La folle complainte


Les jours de repassage,
Dans la maison qui dort,
La bonne n'est pas sage
Mais on la garde encore.
On l'a trouvée hier soir,
Derrière la porte de bois,
Avec une passoire, se donnant de la joie.
La barbe de grand-père
A tout remis en ordre
Mais la bonne en colère a bien failli le mordre.
Il pleut sur les ardoises,
Il pleut sur la basse-cour,
Il pleut sur les framboises,
Il pleut sur mon amour.

Je me cache sous la table.
Le chat me griffe un peu.
Ce tigre est indomptable
Et joue avec le feu.
Les pantoufles de grand-mère
Sont mortes avant la nuit.
Dormons dans ma chaumière.
Dormez, dormons sans bruit.

Berceau berçant des violes,
Un ange s'est caché
Dans le placard aux fioles
Où l'on me tient couché.
Remède pour le rhume,
Remède pour le cœur,
Remède pour la brume,
Remède pour le malheur.

La revanche des orages
A fait de la maison
Un tendre paysage
Pour les petits garçons
Qui brûlent d'impatience
Deux jours avant Noël
Et, sans aucune méfiance,
Acceptent tout, pêle-mêle :
La vie, la mort, les squares
Et les trains électriques,
Les larmes dans les gares,
Guignol et les coups de triques,
Les becs d'acétylène
Aux enfants assistés
Et le sourire d'Hélène
Par un beau soir d'été.

Donnez-moi quatre planches
Pour me faire un cercueil.
Il est tombé de la branche,
Le gentil écureuil.
Je n'ai pas aimé ma mère.
Je n'ai pas aimé mon sort.
Je n'ai pas aimé la guerre.
Je n'ai pas aimé la mort.
Je n'ai jamais su dire
Pourquoi j'étais distrait.

Je n'ai pas su sourire
A tel ou tel attrait.
J'étais seul sur les routes
Sans dire ni oui ni non.
Mon âme s'est dissoute.
Poussière était mon nom
paroles et musique : Charles Trenet

lundi 6 août 2007

Petite leçon de Kung-Fu

Chacun doit trouver seul le chemin du bonheur


Voici un texte d'un de mes auteurs classiques préférés : Sénèque.







"Dans la vie, mon frère Gallion, c'est le bonheur que veulent tous les hommes; mais s'agit-il de voir nettement en quoi consiste ce qui peut réaliser la vie heureuse, ils ont un nuage devant les yeux. Non certes, il n'est pas facile de parvenir à la vie heureuse; car chacun s'en éloigne d'autant plus, qu'il court plus rapidement après elle, s'il a manqué le chemin : quand le chemin conduit en sens contraire, la vitesse même augmente la distance. Il faut donc, avant tout, déterminer quel est pour nous l'objet à rechercher; ensuite, regarder de tous côtés par où nous pourrons y tendre avec le plus de célérité. Ce sera sur la route même, pourvu qu'elle soit droite, que nous saurons de combien chaque jour on avance, et de combien nous aurons approché de ce but, vers lequel nous pousse un désir propre à notre nature. Tant que nous errons çà et là, en suivant non pas un guide, mais un bruit confus et des cris discordants qui nous appellent vers différents points, la vie s'use en égarements, cette vie qui est courte, et qui le serait lors même que jour et nuit nous travaillerions pour le bien-être de l'esprit. D'après cela, qu'il soit décidé où nous allons et par où nous passerons, non sans l'assistance de quelque homme habile qui ait exploré les lieux vers lesquels nous marchons; car il n'en est pas de ce voyage comme des autres : dans ces derniers, un sentier que l'on a pris et les gens du pays, à qui l'on demande le chemin, ne permettent pas que l'on s'égare; mais ici le chemin le plus battu, et le plus fréquenté, est celui qui trompe le plus.

Rien donc n'est plus important pour nous que de ne pas suivre, à la manière du bétail, la tête du troupeau, en passant, non par où il faut aller, mais par où les autres vont. Or, il n'est chose au monde qui nous jette dans de plus funestes embarras que l'usage où nous sommes de nous façonner au gré de l'opinion, en regardant comme le mieux ce qui est reçu par un grand assentiment, et ce dont nous avons des exemples nombreux; c'est vivre, non suivant la raison, mais par imitation. De là, cet énorme entassement de gens qui se renversent les uns sur les autres. Comme il arrive dans un grand carnage d'hommes, quand la multitude se refoule sur elle-même, nul ne tombe sans faire tomber sur lui quelqu'autre qu'il entraîne, et les premiers causent la perte de ceux qui suivent : voilà ce que dans toute vie vous pouvez voir se passer. Nul ne s'égare pour lui seul, mais on est la cause et l'auteur de l'égarement d'autrui. Le mal vient de ce qu'on est serré contre ceux qui marchent devant. Tandis que chacun aime mieux croire que de juger, jamais on ne juge de la vie, toujours on en croit les autres. Ainsi nous ébranle et nous abat l'erreur transmise de main en main, et nous périssons victimes de l'exemple. Nous serons guéris, si une fois nous sommes séparés de la grande réunion. Quant à présent, le peuple tient ferme contre la raison, il défend sa maladie. Aussi arrive-t-il ce qui a lieu dans les comices, où, après l'élection des préteurs, ceux qui l'ont faite s'en étonnent, quand la mobile faveur s'est promenée autour de l'assemblée. Les mêmes choses, nous les approuvons, nous les blâmons. Tel est le résultat de tout jugement dans lequel c'est à la majorité que l'on prononce. "

De la vie heureuse

traduction M. Charpentier (1860)

Etre une fille...

Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Créé par Bill Watterson

Hiroshima, les débuts de l'ère atomique


Le 6 août 1945, il y a tout juste 62 ans, une forteresse volante américaine (un B 29 surnommé Enola Gay) largue une bombe atomique au-dessus de la ville d'Hiroshima, au Japon.

Explosant à 300 mètres d'altitude, elle va causer la mort de 75.000 habitants et et en blesser 90.000.

Trois jours plus tard, les Etats-Unis remettent ça sur la ville de Nagasaki, faisant 40.000 morts et autant de blessés.

Le Japon capitule le 2 septembre.

L'art de la guerre a trouvé un nouveau moyen de dépasser les limites de l'horreur, et le monde entre d'un pas gaillard dans l'ère atomique.

On ignore jusqu'à présent quel est le nombre de mort dues aux radiations émises par ces explosions.

dimanche 5 août 2007

40 bananes pour un collier en or


Un voleur indien a été contraint par la police à ingurgiter 40 bananes en quelques heures, pour le forcer à éliminer par les voies naturelles un collier en or qu'il avait avalé.

Sheikh Mohsin avait en effet ingurgité le collier d'une valeur de 45.000 roupies (815 euros) qu'il avait volé à une femme vendredi quand il s'est fait arrêter par la police.

"Il a nié avoir avalé le bijou, mais une radio effectuée à l'hôpital a montré qu'il était bel et bien dans son estomac", a expliqué à l'agence Reuters Ajay Kumar, un des responsables des forces de l'ordre à Kolkata.

"Les médecins nous ont conseillé de lui faire manger des bananes, qui constituent un purgatif naturel", a précisé un autre policier.

Mohsin s'est rendu trois fois aux toilettes samedi matin, et a même été contraint de vomir, mais rien n'y a fait.

Les policiers se sont donc résolus à utiliser des purgatifs plus puissants, mais on ne connaît pas le résultat de l'affaire.

samedi 4 août 2007

Dépannage informatique


Connaissez-vous le site Infos-du-net.com ? C'est un site d'informations d'actualités informatiques et logiciels. Rien que du très banal en apparence.

Oui, mais voilà, le forum du site recèle des trésors. Un problème d'ordi ? Un virus ? Une anomalie quelconque ? Demandez de l'aide sur le forum et on vous répondra vite, efficacement et gentiment en plus.

A force de traîner sur Internet, j'ai attrapé un "spyware" il y a deux jours, et à l'heure qu'il est mon PC est comme neuf, désinfecté, récuré de tous ces petits maux incrustés au fil des mois et des périgrinations sur Internet.

Alors, merci Infos-du-net et Sham-Rock pour votre aide précieuse !

Du respect...

Si vous voulez être respecté, commencez par être respectable et, en outre, assez costaud pour imposer le respect.

Somerset Maugham

jeudi 2 août 2007

Combattre la corruption




Un nouveau jeu fait un tabac en Chine depuis une semaine. En effet, le jeu en ligne "Combattant incorruptible", offre la réjouissante possibilité de torturer ou de tuer des fonctionnaires "ripoux".

Conçu tout spécialement à la demande des autorités locales du Zhejiang, le jeu entend mêler "éducation anti-corruption et divertissement", et a visiblement touché un large public d'internautes.

Plus de 7000 joueurs se sont inscrits depuis le lancement du jeu le 25 juillet dernier et le site est en cours d'amélioration pour accueillir un plus grand nombre de connectés, tant l'engouement est important. "Combattant incorruptible" a déjà été téléchargé plus de 100000 fois et permet aux joueurs d'utiliser la magie, aux armes ou à la torture pour punir les mauvais serviteurs de l'Etat.

«J'ai vraiment l'impression d'avoir accompli quelque chose quand je punis l'un de ces fonctionnaires diaboliques», faisant partie des 165 cyberpersonnages, bon ou mauvais, inspirés de figures historiques chinoises, a expliqué l'un des joueurs.

Les «purs» sont récompensés s'ils capturent, torturent ou tuent un responsable officiel corrompu, mais aussi ses enfants ou sa maîtresse, gagnant, in fine, l'accès à un paradis sans corruption, source de mécontentement dans la population chinoise.

Je n'approuve pas la corruption, mais j'avoue que le procédé "d'éducation" me fait un peu froid dans le dos...

mercredi 1 août 2007

Comment éviter ça....

Voici une pub que je trouve vraiment drôle.... Attention ! Ames sensibles, s'abstenir, c'est un peu violent....